Toujours avec la collaboration de mon ami Will qui, outre les photographies, m'a grandement aidé pour le texte, la suite des domiciles d'Edgar P. Jacobs. Aujourd'hui la période 1911-1930 durant
laquelle Jacobs vécut aux environs du Parc du Cinquantenaire.
"Irrésistiblement fasciné depuis toujours par l'art et l'histoire de l'ancienne Egypte..." (Un Opéra de papier, p. 118).
Il faut reconnaître que les parents Jacobs savaient choisir, sans doute inconsciemment, des lieux susceptibles d'impressionner et influencer le jeune Edgard. En 1911 ils aménagent au n° 22 avenue
de Cortenberg à Bruxelles où ils vivront du 26 mai au 12 octobre 1911.
L'avenue a depuis été complètement transformée, la maison n'existe plus (ci-dessus). Pour en avoir une idée, voir les deux maisons (sur quatre) qui ont survécu à cette transformation (ci-dessous).

La maison de la famille Jacobs se trouvait à 200 m de l'entrée principale (ci-dessous) du Parc du Cinquantenaire, ainsi nommé car aménagé en 1881 pour les cinquante ans de la création du Royaume de Belgique.

Aujourd'hui, la vue de ce parc donne toujours une impression saisissante (ci-dessus). Le parc abrite, autour des Arcades du Cinquantenaire, plusieurs musées, dont les Musées Royaux d'Art et d'Histoire (deux photos ci-dessous). C'est le conservateur de ces musées, le professeur Pierre Gilbert, qui, au début des années 50, mettra à la disposition d'Edgar P. Jacobs des ouvrages de la bibliothèque de la Fondation Egyptologique Reine Elisabeth et réalisera la transcription hiéroglyphique du célèbre texte de la Pierre de Maspéro (Un Opéra de papier, pp. 118-119).


A droite de l'entrée du Musée se trouve la sortie du parc qui mène, 400 m plus loin, au domicile suivant de la famille Jacobs qui vécut au 239 chaussée Saint-Pierre à Etterbeek du 12 octobre 1911 au 10 mai 1915. La façade a été rénovée (ci-dessous), mais ressemblait probablement aux façades attenantes.

160 rue Louis Hap à Etterbeek, du 10 mai 1915 au 7 août 1930 (ci-dessous) : c'est ici que commence la carrière d'artiste d'Edgar P. Jacobs. Dans cette période, il réalise en effet ses premiers dessins "publics" dans ses cahiers d'écolier (Un Opéra de papier, pp. 23-25 ; Le Monde d'Edgar P. Jacobs, pp. 56-63), rencontre Jacques Van Melkebeke et découvre l'Opéra.

L'avenue a depuis été complètement transformée, la maison n'existe plus (ci-dessus). Pour en avoir une idée, voir les deux maisons (sur quatre) qui ont survécu à cette transformation (ci-dessous).

La maison de la famille Jacobs se trouvait à 200 m de l'entrée principale (ci-dessous) du Parc du Cinquantenaire, ainsi nommé car aménagé en 1881 pour les cinquante ans de la création du Royaume de Belgique.


Aujourd'hui, la vue de ce parc donne toujours une impression saisissante (ci-dessus). Le parc abrite, autour des Arcades du Cinquantenaire, plusieurs musées, dont les Musées Royaux d'Art et d'Histoire (deux photos ci-dessous). C'est le conservateur de ces musées, le professeur Pierre Gilbert, qui, au début des années 50, mettra à la disposition d'Edgar P. Jacobs des ouvrages de la bibliothèque de la Fondation Egyptologique Reine Elisabeth et réalisera la transcription hiéroglyphique du célèbre texte de la Pierre de Maspéro (Un Opéra de papier, pp. 118-119).


A droite de l'entrée du Musée se trouve la sortie du parc qui mène, 400 m plus loin, au domicile suivant de la famille Jacobs qui vécut au 239 chaussée Saint-Pierre à Etterbeek du 12 octobre 1911 au 10 mai 1915. La façade a été rénovée (ci-dessous), mais ressemblait probablement aux façades attenantes.

160 rue Louis Hap à Etterbeek, du 10 mai 1915 au 7 août 1930 (ci-dessous) : c'est ici que commence la carrière d'artiste d'Edgar P. Jacobs. Dans cette période, il réalise en effet ses premiers dessins "publics" dans ses cahiers d'écolier (Un Opéra de papier, pp. 23-25 ; Le Monde d'Edgar P. Jacobs, pp. 56-63), rencontre Jacques Van Melkebeke et découvre l'Opéra.
